Mauritanie : la section de la Fondation Mohammed VI des Ouléma Africains célèbre les finalistes du concours des manuscrits et documents islamiques africains

Nouakchott – La section de la Fondation Mohammed VI des Ouléma Africains en Mauritanie a organisé, samedi soir à Nouakchott, une cérémonie en l’honneur des finalistes de son concours dédié aux manuscrits, documents et recherches sur la mémoire patrimoniale islamique africaine. Ont été sélectionnées les œuvres : « Hidayat Al-Amine Ala Al-Mourchid Al-Mouin » de son auteur Cheikh ibrahima Dia-Dakar (catégorie livres manuscrits), manuscrit coranique de la Bibliothèque Sidi Abidine el Kounti de Mohamed Ould Cheikhna (catégorie documents islamiques) et « La lettre du Cheikh Sidi Mohammed Ben Cheikh Sidi El Mokhtar au successeur Ben Al-Tahar » de son auteur Sidi Amar Ould Sidna (catégorie documents patrimoniaux). Le président du comité de sélection, Mohamed El-Mokhtar Ould Essaad, a précisé que les œuvres retenues représenteront la Mauritanie lors des finales continentales, opposant 48 pays africains, soulignant que l’évaluation des travaux s’est appuyée sur des critères stricts portant notamment sur l’authenticité et l’ancienneté du manuscrit, son importance, son état de conservation, ainsi que la qualité de l’écriture et des matériaux utilisés. Les spécificités locales des manuscrits ainsi que l’histoire culturelle du pays ont été aussi prises en compte, a ajouté le responsable mauritanien lors de cette cérémonie tenue en présence notamment du secrétaire général du ministère mauritanien de la Culture, Sidi Mohamed Jeddou Khattri, de l’ambassadeur du Maroc en République islamique de Mauritanie, Hamid Chabar, d’une délégation de la Fondation Mohammed VI des Ouléma Africains et du président de la section de la Fondation en Mauritanie, Cheikh Ben Oumar Ly. Pour sa part, M. Oumar Ly a affirmé que ce concours « reflète une vision royale éclairée visant à soutenir les ouléma, préserver le patrimoine islamique africain et consolider des ponts durables de coopération entre les peuples du continent, à la lumière des valeurs de tolérance de l’islam ». Il a souligné que l’initiative « met en évidence la richesse du patrimoine islamique africain, des efforts de recherche remarquables et bien d’autres trésors ». La Fondation, a-t-il ajouté, constitue un espace de dialogue entre les ouléma africains, « pour œuvrer de concert à la préservation des constantes religieuses, à la promotion d’une prédication fondée sur la sagesse et l’exhortation bienveillante, au renforcement de la modération et à la lutte contre l’extrémisme et la radicalisation ». De son côté, Mohamed Najib Binebine, membre de la délégation de la Fondation Mohammed VI des Ouléma Africains, a indiqué que ce concours « a révélé des ouvrages manuscrits rares de grands savants mauritaniens ayant contribué, dans divers domaines des sciences islamiques et arabes, à l’enrichissement de l’espace intellectuel dans la région ». Il s’est aussi dit fier des liens fraternels solides unissant le Royaume du Maroc et la République islamique de Mauritanie, « renforcés par la volonté commune de SM le Roi Mohammed VI et du président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani de développer la coopération au service des deux peuples frères ». Le secrétaire général du ministère mauritanien de la Culture a, quant à lui, salué les efforts de la Fondation Mohammed VI des Ouléma Africains, à travers notamment le concours des manuscrits et documents islamiques africains « qui constitue une initiative intellectuelle et culturelle majeure, puisant du passé l’esprit du savoir, du présent la conscience de la responsabilité et du futur l’élan vers la renaissance et l’innovation ». Le responsable mauritanien a affirmé que ces efforts s’inscrivent pleinement dans la vision de son pays, « en vue de protéger le patrimoine national, renforcer l’identité culturelle et préserver la mémoire historique du pays », relevant que la mis en lumière des ces manuscrits « est un hommage à la mémoire de la nation et une reconnaissance du travail des ouléma, des copistes et des chercheurs qui ont consacré leur vie au service du livre et à la transmission du savoir de génération en génération ». Le concours des manuscrits, documents et recherches sur la mémoire patrimoniale islamique africaine fait partie des programmes annuels organisés par la Fondation Mohammed VI des Ouléma Africains, aux côtés des concours de mémorisation du Saint Coran et de la Sira Al-Nabawiya (Vie du Prophète) et des initiatives solidaires menées durant le mois de Ramadan dans de nombreux pays d’Afrique.

Nouakchott (MAP) – La section de la Fondation Mohammed VI des Ouléma Africains en Mauritanie a organisé, samedi soir (25/10/2025) à Nouakchott, une cérémonie en l’honneur des finalistes de son concours dédié aux manuscrits, documents et recherches sur la mémoire patrimoniale islamique africaine.

Ont été sélectionnées les œuvres : « Hidayat Al-Amine Ala Al-Mourchid Al-Mouin » de son auteur Cheikh ibrahima Dia-Dakar (catégorie livres manuscrits), manuscrit coranique de la Bibliothèque Sidi Abidine el Kounti de Mohamed Ould Cheikhna (catégorie documents islamiques) et « La lettre du Cheikh Sidi Mohammed Ben Cheikh Sidi El Mokhtar au successeur Ben Al-Tahar » de son auteur Sidi Amar Ould Sidna (catégorie documents patrimoniaux).

Le président du comité de sélection, Mohamed El-Mokhtar Ould Essaad, a précisé que les œuvres retenues représenteront la Mauritanie lors des finales continentales, opposant 48 pays africains, soulignant que l’évaluation des travaux s’est appuyée sur des critères stricts portant notamment sur l’authenticité et l’ancienneté du manuscrit, son importance, son état de conservation, ainsi que la qualité de l’écriture et des matériaux utilisés.

Les spécificités locales des manuscrits ainsi que l’histoire culturelle du pays ont été aussi prises en compte, a ajouté le responsable mauritanien lors de cette cérémonie tenue en présence notamment du secrétaire général du ministère mauritanien de la Culture, Sidi Mohamed Jeddou Khattri, de l’ambassadeur du Maroc en République islamique de Mauritanie, Hamid Chabar, d’une délégation de la Fondation Mohammed VI des Ouléma Africains et du président de la section de la Fondation en Mauritanie, Cheikh Ben Oumar Ly.

Pour sa part, M. Oumar Ly a affirmé que ce concours « reflète une vision royale éclairée visant à soutenir les ouléma, préserver le patrimoine islamique africain et consolider des ponts durables de coopération entre les peuples du continent, à la lumière des valeurs de tolérance de l’islam ».

Il a souligné que l’initiative « met en évidence la richesse du patrimoine islamique africain, des efforts de recherche remarquables et bien d’autres trésors ».

La Fondation, a-t-il ajouté, constitue un espace de dialogue entre les ouléma africains, « pour œuvrer de concert à la préservation des constantes religieuses, à la promotion d’une prédication fondée sur la sagesse et l’exhortation bienveillante, au renforcement de la modération et à la lutte contre l’extrémisme et la radicalisation ».

De son côté, Mohamed Najib Binebine, membre de la délégation de la Fondation Mohammed VI des Ouléma Africains, a indiqué que ce concours « a révélé des ouvrages manuscrits rares de grands savants mauritaniens ayant contribué, dans divers domaines des sciences islamiques et arabes, à l’enrichissement de l’espace intellectuel dans la région ».

Il s’est aussi dit fier des liens fraternels solides unissant le Royaume du Maroc et la République islamique de Mauritanie, « renforcés par la volonté commune de SM le Roi Mohammed VI et du président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani de développer la coopération au service des deux peuples frères ».

Le secrétaire général du ministère mauritanien de la Culture a, quant à lui, salué les efforts de la Fondation Mohammed VI des Ouléma Africains, à travers notamment le concours des manuscrits et documents islamiques africains « qui constitue une initiative intellectuelle et culturelle majeure, puisant du passé l’esprit du savoir, du présent la conscience de la responsabilité et du futur l’élan vers la renaissance et l’innovation ».

Le responsable mauritanien a affirmé que ces efforts s’inscrivent pleinement dans la vision de son pays, « en vue de protéger le patrimoine national, renforcer l’identité culturelle et préserver la mémoire historique du pays », relevant que la mis en lumière des ces manuscrits « est un hommage à la mémoire de la nation et une reconnaissance du travail des ouléma, des copistes et des chercheurs qui ont consacré leur vie au service du livre et à la transmission du savoir de génération en génération ».

Le concours des manuscrits, documents et recherches sur la mémoire patrimoniale islamique africaine fait partie des programmes annuels organisés par la Fondation Mohammed VI des Ouléma Africains, aux côtés des concours de mémorisation du Saint Coran et de la Sira Al-Nabawiya (Vie du Prophète) et des initiatives solidaires menées durant le mois de Ramadan dans de nombreux pays d’Afrique.